LE SCC2 PASSE EN COUPE

Samedi soir le SCC3 reçoit Yolet pour un match en retard de longue date, mais c'est avec une équipe remaniée du fait d'absences, de blessés, de suspendus et de joueurs ne pouvant être alignés car l'équipe 1 ne jouant pas le SCC2 doit puiser dans le stock pour aller à Naucelles.

Lors de la 1^ère mi-temps le SCC joue face à un vent violent qui le cantonne dans son camp et dans un rôle défensif exclusif. Cependant cette défense est bien organisée et résiste à l'adversaire tant qu'il produit un jeu organisé. Mais la pause arrive sur un score de 3 à 0, le SCC3 pliant sur 3 buts casquettes lors de phases désordonnés.

Lors de la seconde période le SCC, vent dans le dos, domine et se crée plusieurs occasions mais le poteau puis la barre l'empêche de revenir au score.

En fin de match le coach Géraud craque et cause un pénalty qui clôt le score sue 4-0 sévère.

A noter les entrées de Maxime Vigne et Julien Fric qui revient après une longue blessure

A souligner la bonne ambiance de ce match.

 

Dimanche le SCC2 fait son entrée en coupe Combourieu avec une équipe remaniée pour affronter Naucelles. Une fois de plus le SCC2 entre difficilement dans la partie mais se crée cependant plusieurs occasions. Le gardien naucellois se blesse à une main et l'interruption prolongée fait un peu plus sortir l'équipe du match.

A la 25° minute un tir d'Hugo Vigier trouve le poteau mais il est repris par Jérémy Gandilhon qui marque.

A la 55° mn Pierre Miceli remplace Loïc Chevalier un peu fatigué car rentré dans la nuit du Stade de France.

A la 59° Rémi Laroussinie récupère un ballon dans un duel mais son tir s'écrase sur la transversale.

Puis sur un coup franc de Pierre Miceli, Pierre-Antoine Malvezin dévie mais le gardien sort le ballon de sa lucarne.

A la 63èm" minute après un corner Rémi lobe le gardien et marque un second but.

A 10 minutes de la fin Naucelles réduit le score puis le match se finit sur ce score.

Un match bien moyen du SCC2 mais dans ce genre de match on dit souvent que seul le résultat compte et pour cette fois on s'en contentera.